La nouvelle politique de l'OMS visant à prévenir et combattre l'inconduite sexuelle,
qui est entrée en vigueur le 8 mars 2023,
renforce les cadres juridiques et de responsabilisation de l'OMS
pour parvenir à la tolérance zéro à l'égard de l'inconduite sexuelle, et de l'inaction face.
Plusieurs lois françaises évoquent le droit et le devoir à l'éducation sexuelle.
(article L311-3 CASF + section 9 de L312-16 à L312-17-2 + article 33 de L2021-109)
« L'exercice des droits et libertés individuels est garanti à toute personne
prise en charge par des établissements et services sociaux et médico-sociaux »
«d’une prise en charge et un accompagnement individualisé de qualité
favorisant son développement, son autonomie et son insertion,
adaptés à son âge et à ses besoins »
L'éducation à la sexualité pour un jeune public (pré-ado et ado),
se concentre sur l'ensemble des aspects
biologique, psychologique, sociologique, relationnel et moral.
L'idée étant d'intervenir en structure éducative en 6éme, 3ème et 1ère,
mais aussi en structure médicaux sociaux à partir de 13 ans,
sans oublier, pas spécialement pour un jeune public, en centre de rééducation physique.
Elle permet de réfléchir à chacun de ses domaines,
au service d'une compréhension plus riche, plus raffinée,
plus nuancée de la réalité sexuelle humaine, qui ne veut plus supporter de discours réducteurs.
